Cette semaine, Manue vous propose un peu de légèreté et de poésie en partageant avec vous sa dernière créa : Lightness 2. Découvrez, dans cet article, cette nouvelle œuvre issue de la thématique de la série DELTA : La grâce et l’apesanteur .
Série DELTA : Lightness 2
Lightness 2
A3, encre, mine de crayon sur papier Kraft, 2019
Lightness 2 : La légèreté
« Tout cela n’est rien comparé à ce que je vois dans ma tête ! » M.C.Escher*
Lightness 2 est avant tout un hommage à un artiste surréaliste dont j’admire profondément le travail : M.C.Escher.
Si son nom ne vous dit rien, ses œuvres*, elles sont reconnaissables au premier coups d’œil tant son univers est complexe et mystérieux.
Son travail inspiré des mathématiques me fascine au plus haut point, que ce soit ses pavages, ses constructions infinies…
Il y a comme un effet miroir avec ma manière de penser une œuvre : jouer avec l’imagination du spectateur, l’emmener à s’interroger, chercher le début et la fin, poser le regard et ressentir l’inconcevable, l’infini…
Lightness 2 est une œuvre qui est l’expression d’une sensibilité, un point de vue partagé, un voyage au cœur de l’intériorité, un travail sur ce qui m’inspire et me fascine…
A bientôt
Manue
Source :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maurits_Cornelis_Escher
* Maurits Cornelis Escher1, né à Leeuwarden le 17 juin 1898 et mort à Laren le 27 mars 1972, plus couramment nommé M. C. Escher, est un artiste néerlandais, connu pour ses gravures sur bois, manières noires et lithographies souvent inspirées des mathématiques. Au cours de sa vie, il a réalisé 448 estampes, et plus de 2 000 dessins et esquisses. Il a également illustré des livres, des tapisseries, des timbres et des œuvres murales.
Ses œuvres représentent des constructions impossibles, des explorations de l’infini, des pavages et des combinaisons de motifs en deux ou trois dimensions qui se transforment graduellement en des formes totalement différentes, qui défient les modes habituels de représentation du spectateur.
L’œuvre de M. C. Escher a séduit de nombreux mathématiciens à la communauté desquels il se défendait d’appartenir.